Réponse :A l'aube du Printemps, lors d’un après-midi particulier, où le ciel du mois de mars, grisâtre et humide, était pénétré par les rayons du soleil.
En ce temps, je me promenais dans un très grand centre commercial, où l’on y trouvait effectivement de tout. À l’entrée, un immense hall nous accueillait, surplombé au centre d’une jolie fontaine qu’entouraient de nombreux fauteuils.
Le centre était composé de deux étages: au sous-sol, l’hypermarché avec tous ses rayons proposait divers produits qui concernent les besoins du quotidien.
Au premier étage, nous étaient proposées plusieurs boutiques. L’endroit était accueillant, lumineux et très chaleureux. Les décors étaient agencés de façon harmonieuse.
Lorsque soudain en me baladant, à travers une vitrine, je l’aperçus... Il était irrésistible, tellement beau, tellement craquant que je ne pouvais plus le quitter du regard. Il m’avait l’air si intéressant que je le pris et l’acheta. Oui, c’était un grand et très lourd manuscrit rouge, comme si ce bouquin était humain et qu’on l’avait poignardé avec du sang dont les traces servent désormais de couverture. Une heure plus tard, j’étais chez moi, à la tombée de la nuit. J’allais dans ma chambre pour déposer ce curieux ouvrage sur ma commode et, comme enivré par le sommeil, je m’effondrais à ses côtés .
Trois heures plus tard je fus réveillé par l’orage qui faisait rage et le vent qui soufflait tellement fort qu’on croyait entendre ça et là des branches se craquer voir des arbres se déraciner. Les volets des fenêtres claquaient sans cesse et m’empêchaient de me rendormir. Peinant à m’endormir sous cette atmosphère, je décidais alors de découvrir ce livre si attrayant.